Image de l'indochine

Publié le par Lycée Voltaire

    L'amant de Marguerite Duras est une autofiction, elle raconte sa vie de manière détachée et par le fonctionnement des images et de la mémoire. La majorité du texte se passe en Indochine, nous allons voir quelle image ce récit donne  de l'Indochine.

    Duras nous parle beaucoup de la chaleur, presque insuportable du pays: "chaleur étouffante". Elle ne donne pas une bonne image de ce pays en décriavant le climat, c'est un pays "monotone". Il y a la saison sèche et la saison humide, la mousson. C'est un climat dur à vivre.

    Elle parle beaucoup des nuits, elles étaient belles: "J'ai eu cette chance, pour ces nuits". Ces nuits qu'elle décrit (p.100-101), ont l'air d'être quelque chose d'unique, qui donne envie d'être vu.

    Elle porte une très grande importance au Mékong. Chaque lieu dont elle parle est toujours, d'une manière ou d'une autre, relié au fleuve. Elle raconte les sentimentsqu'avait sa mère pour ce fleuve: "je ne reverrai desf leuves aussi beaux, aussi grands, aussi sauvage, le Mékong est ses bras". On ignore si Duras pensait la même chose, mais il était très important pour elle, cela donne une belle image des paysage de l'Indochine.

    Le bruit de la ville est très présent dans le texte. Saigon est une ville très mouvementé: " les tramways, les pousse-pousses, les cars". Quand elle était avec le chinois, elle entendait continuellement les gens de la ville: "foules toujours énormes", "vacarme continu". Même la nuit. Les gens crient beuacoup: "c'est un lieu de détresse". C'est l'image connue des villes du tier-monde, qui ne met pas en valeur l'Indochine.

    Dans ce pays, il y a, comme elle le fait comprendre à plusieurs reprises, un contraste entre les classe sociales 

Publié dans Littérature

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